Jump to content

Page:Labi 1998.djvu/110

From Wikisource
This page has not been proofread.

Notes

1 Piine l’Ancien, Histoire naturelle, 12, 5.

2 Polybe, 2, 15,9.

3 Tite Live, Epitome, 61.

4 Tite Live, Epitome, 61; Strabon, 4, 1, 11.

5 César, De bello gallico, 1, 10.

6 Ibid.

7 Suétone, Néron, 18.

8 Strabon, 4, 6, 7; Dion Cassius, 53, 25.

9 Velleius Paterculus, 2, 95; Dion Cassius, 54, 21-22.

10 Dion Cassius, 54, 24.

11 Tite Live, 21, 32, 7; Ovide, Ars amatoriaria, 3, 150; Sénèque, Epist., 4, 31.

12 Ainsi, par exemple, à Aoste en France (Otto Flirschfeld [éd.]. Corpus Inscriptionum Latinarum, t. XII, Inscriptiones Galliae Narbonensis, Berlin, 1888,2397, dorénavant: CIL XII), je n’ai pas retenu Ulpia Anthusa.qui était originaire de Cologne, car elle était l’épouse de Marcus Aurelius Adiutor, affranchi de deux Augustes, qui était très probablement un employé du bureau du vingtième des héritages d’Aoste.

13 CIL XII (voir note 12), 103.

14 Cicéron, Pro P. Quinctio, 25,79-80; Voir Guy Barruol, Les peuples préromains du sud-est de la Gaule. Etude de géographie historique, 2e éd., Paris 1975, pp. 291-293.

15 Cicéron, Leg. agr., 2, 27, 73.

16 Aulu Gelle, Nuits attiques, 16,13.

17 Appien, BC, 1, 24.

18 Denis van Berchem, Les routes et l’histoire, Genève 1982, pp. 47-53, avec la bibliographie antérieure.

19 Voir F. Stähelin, Die Schweiz in römischer Zeit, 3e éd., Bâle 1948, pp. 91-95 et K. Kraft, in: JBRömGermMuseum 4,1957, p. 95 ss., et en dernier lieu, Frédéric Rossi, L’area sacra du forum de Nyon et ses abords. Fouilles 1988-1990, Lausanne, 1995, pp. 102-103.

20 Strabon, 4, 6, 7; voir aussi Dion Cassius, 53, 25.

21 Antonina Maria Cavallaro, Gerold Walser, Iscrizioni di Augusta Praetoria. Inscriptions de Augusta Praetoria, Quart, 1988, pp. 20-21, n° 1.

22 Ibid.

23 Toutefois, H. G. Pflaum, Les fastes de la province de Narbonnaise, Paris 1978, p. 290, le range au nombre des Voconces. Malgré son appartenance à la tribu Voltinia, je ne suis pas convaincu, notamment en raison de son gentilice, qui se retrouve une douzaine de fois en Gaule Cisalpine, mais n’est jamais attesté ailleurs en Narbonnaise.

24 Guy Barruol, 1975 (voir note 14), p. 291.

25 CIL XII (voir note 12), 3601.

26 CIL XII, 4410, quatre occurrences.

27 CIL XII, 1900, deux occurrences.

28 CIL XII, 3412.

29 CIL XII, 4663.

30 Dieter Kienast, Römische Kaisertabelle, 2e éd., Darmstadt 1996, p. 66.

31 Barnabas Lörincz,Franciscus Redo (éd.), Onomasticonprouinciarum EuropaeLatinarum, vol. 1: Aba-Bysanus, Budapest 1994, pp. 229-230.

32 A la suite de Théodor Mommsen (éd.). Corpus Inscriptionum Latinarum, t. V, 1 et 2, Inscriptiones Galliae Cisalpinae Latinae, Berlin 1872-1877, tous les auteurs ont identifié deux hommes C. Avillius et C. Aimus. Il est du mérite d’H. Solin, in: Arctos 24, 1990, pp. 125-126, d’avoir corrigé la lecture C. Aimus en Caimus, interprétation logique, puisqu’il n’y a pas de point entre C et Aimus, alors qu’il y en a un entre tous les autres mots.

130
HISTOIRE DES ALPES - STORIA DELLE ALPI - GESCHICHTE DER ALPEN 1998/3